Sur la Rive de Bosphorus, Istanbul |
Certes, on voudrait tous dire que l’on est assimilés, impressionnistes et
philosophes quand on fait de petits trajets ou de grandes vacances à l’étranger…
même dans son propre pays ! Véritablement, je m’identifie le plus avec l’impressionniste.
J’avoue que je partage avec le touriste typique l’habitude de rester le seul
(ou un des seuls) sujet(s) de l’expérience étrangère. Je tombe facilement
amoureux avec les cultures dissimulés qui ne se trouvent pas dans le cadre
multiculturel de Melbourne, et avec les coutumes, surtout celles qui se
sont transmises d’une génération à l’autre, qui constituent un rôle primordial
dans la soutenance de son patrimoine.
En vacances, je cherche l’expérience cosmopolite, mais aussi, authentique :
soit les villages aux montagnes grecques dont les carnavals de carême ajoutent
plein de couleur à la vie quotidienne de cette période de l’année ; soit
une aventure verte en plein air ; soit les églises clandestines que j’ai
visitées à Constantinople. Je trouve que le voyage me permet de découvrir mieux
mon patrimoine et mes racines et m’encourage à élargir mon perspectif global. C’étaient
ces églises clandestines – ces vestiges merveilleux - qui m’ont donné un aperçu de l’oppression de
la religion chrétienne orthodoxe sous l’occupation de l’empire ottomane à ces
vieux lieux du Byzantinisme.
De plus, avec le phénomène de mondialisation, on devient tous de plus en
plus « cosmopolites et citoyens du monde » - qui nous pousse à
découvrir nos racines « globales ». Il est envers également vrai que
l’on devient « consommateurs du monde » au détriment de sa citoyenneté
nationale. Le régime politique se transforme au marché mondial. C’est cette
raison pour laquelle je crois que tous nous, les voyageurs, sont profiteurs d’un
certain degré, à cause de la commercialisation du voyage, ainsi le rendant une
transaction au base.
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